Votre ATTESTATION D'ACCUEIL

Résidents étrangers

Une personne étrangère, qui souhaite venir en France pour une visite privée ou familiale inférieure à 3 mois, doit présenter un justificatif d'hébergement. Ce document appelé attestation d'accueil est établi par la personne qui l'accueillera à son domicile lors du séjour en France. La demande est faite en mairie. L'attestation est délivrée si l'hébergeant remplit certaines conditions.

Comment faire ?

La démarche se fait directement en mairie. Pour retrouvez la liste des pièces à fournir et prendre rendez-vous, vous pouvez accéder au portail O.Net Citoyen ou contacter directement le Service à la population

Contactez le service à la population

Adoption simple et adoption plénière : quelles différences ?

Les 2 formes d’adoption diffèrent sur un certain nombre de sujets : liens avec la famille d’origine, autorité parentale, nom de la personne adoptée, héritage,…

Effets pour chaque type d’adoption

Sujet

Adoption simple

Adoption plénière

Lien avec la famille d’origine

L’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

L’adopté acquiert une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

Autorité parentale

L’autorité parentale est exclusivement et intégralement attribuée au(x) parent(s) adoptif(s), sauf s’il s’agit de l’adoption d’un enfant de l’époux, du partenaire de Pacs ou du concubin.

Dans ce cas, ce dernier conserve seul l’exercice de l’autorité parentale sauf déclaration conjointe devant le directeur de greffe du tribunal judiciaire.

L’autorité parentale est exclusivement et intégralement attribuée au(x) parent(s) adoptif(s).

En cas d’adoption de l’enfant de l’époux, du partenaire de Pacs ou du concubin, elle est exercée en commun.

Obligation alimentaire

Le (les) adoptant(s) doit(vent) des aliments à l’adopté et réciproquement.

Le(s) parent(s) biologique(s) de l’adopté ne sont obligés de lui fournir des aliments que s’il ne peut les obtenir de l’adoptant.

L’adopté ne doit pas d’aliments à ses parents biologiques s’il a été admis comme pupille de l’État ou pris en charge par l’aide sociale.

L’adoptant doit des aliments à l’adopté et réciproquement.

Nom de l’adopté

Le nom de l’adoptant s’ajoute au nom de l’adopté ou le remplace.

Sous certaines conditions, le nom d’origine peut être conservé.

L’adopté prend automatiquement le nom de l’adoptant

Prénom de l’adopté

Il est possible de demander au juge un changement de prénom de l’adopté

Il est possible de demander au juge un changement de prénom de l’adopté

Nationalité

L’adoption simple ne permet pas à l’enfant adopté de .

Le(s) parent(s) adoptif(s) de l’enfant doit(vent) la demander en faisant une déclaration.

L’adopté majeur doit demander sa naturalisation pour devenir français.

L’enfant adopté pendant sa minorité devient automatiquement français dès lors que l’un des parents (adoptant) est de nationalité française. Il est considéré comme français dès sa naissance.

Droit à la succession

L’adopté hérite des 2 familles : de sa famille d’origine et de sa famille adoptive.

L’adopté ne bénéficie pas des droits de mutation gratuits dans sa famille adoptive. Il paie les mêmes droits que les personnes sans lien de parenté ( 60 % ) sauf dans certains cas (enfant du conjoint, pupille de l’État …).

Il n’est pas héritier réservataire à l’égard de ses grands-parents adoptifs (ceux-ci peuvent le déshériter)

L’enfant adopté . Il est héritier réservataire.

Il n’hérite pas de sa famille d’origine.

Révocation

L’adoption simple peut être révoquée par jugement pour motifs graves.

L’adoption plénière est irrévocable

Adoption simple et adoption plénière : quelles différences ?

Les 2 formes d’adoption diffèrent sur un certain nombre de sujets : liens avec la famille d’origine, autorité parentale, nom de la personne adoptée, héritage,…

Effets pour chaque type d’adoption

Sujet

Adoption simple

Adoption plénière

Lien avec la famille d’origine

L’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

L’adopté acquiert une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

Autorité parentale

L’autorité parentale est exclusivement et intégralement attribuée au(x) parent(s) adoptif(s), sauf s’il s’agit de l’adoption d’un enfant de l’époux, du partenaire de Pacs ou du concubin.

Dans ce cas, ce dernier conserve seul l’exercice de l’autorité parentale sauf déclaration conjointe devant le directeur de greffe du tribunal judiciaire.

L’autorité parentale est exclusivement et intégralement attribuée au(x) parent(s) adoptif(s).

En cas d’adoption de l’enfant de l’époux, du partenaire de Pacs ou du concubin, elle est exercée en commun.

Obligation alimentaire

Le (les) adoptant(s) doit(vent) des aliments à l’adopté et réciproquement.

Le(s) parent(s) biologique(s) de l’adopté ne sont obligés de lui fournir des aliments que s’il ne peut les obtenir de l’adoptant.

L’adopté ne doit pas d’aliments à ses parents biologiques s’il a été admis comme pupille de l’État ou pris en charge par l’aide sociale.

L’adoptant doit des aliments à l’adopté et réciproquement.

Nom de l’adopté

Le nom de l’adoptant s’ajoute au nom de l’adopté ou le remplace.

Sous certaines conditions, le nom d’origine peut être conservé.

L’adopté prend automatiquement le nom de l’adoptant

Prénom de l’adopté

Il est possible de demander au juge un changement de prénom de l’adopté

Il est possible de demander au juge un changement de prénom de l’adopté

Nationalité

L’adoption simple ne permet pas à l’enfant adopté de .

Le(s) parent(s) adoptif(s) de l’enfant doit(vent) la demander en faisant une déclaration.

L’adopté majeur doit demander sa naturalisation pour devenir français.

L’enfant adopté pendant sa minorité devient automatiquement français dès lors que l’un des parents (adoptant) est de nationalité française. Il est considéré comme français dès sa naissance.

Droit à la succession

L’adopté hérite des 2 familles : de sa famille d’origine et de sa famille adoptive.

L’adopté ne bénéficie pas des droits de mutation gratuits dans sa famille adoptive. Il paie les mêmes droits que les personnes sans lien de parenté ( 60 % ) sauf dans certains cas (enfant du conjoint, pupille de l’État …).

Il n’est pas héritier réservataire à l’égard de ses grands-parents adoptifs (ceux-ci peuvent le déshériter)

L’enfant adopté . Il est héritier réservataire.

Il n’hérite pas de sa famille d’origine.

Révocation

L’adoption simple peut être révoquée par jugement pour motifs graves.

L’adoption plénière est irrévocable