Onet-le-Château : ses quartiers, son identité

Les quartiers

S’étendant sur plus 40 km2, Onet-le-Château présente la caractéristique unique d’avoir un double visage : des hameaux historiques qui ont conservé leur visage rural et un centre urbain aux quartiers qui se sont développés depuis les années 50.

Les 4 « Saisons »

Ce quartier est né il y a moins de 70 ans aujourd’hui et il est emblématique de la mutation urbaine d’Onet-le-Château. Il est sorti de terre au tout début des années 60, pour répondre à l’industrialisation de la commune autour d’EDF, et de ce qui allait devenir l’usine Robert-Bosch. Drimmer qui fut un célèbre fabricant de luminaires y créa une usine dans la zone de Cantaranne.

Pour loger des ouvriers toujours plus nombreux, le quartier des quatre saisons va ainsi mêler accession à la propriété et construction de HLM. Et c’est en son cœur que naitront les célèbres petits trains ; un habitat aujourd’hui reconnu comme remarquable.

Petit à petit, le quartier va se développer vers San Pau d’un côté et l’Oustal Nau et les Balquières de l’autre.

Onet Village, Capelle et La Roquette

Onet Village, La Roquette et Capelle constituent les hameaux historiques. Jusqu’au lendemain de la seconde guerre mondiale, ils accueillaient la population la plus importante.

Aujourd’hui, ces villages connaissent une double identité : résidentielle et agricole.

Et tous conservent et préservent jalousement une forte identité.

San Pau, l’Oustal Nau et les Balquières

Extensions naturelles des « Quatre Saisons », les quartiers de San Pau, de l’Oustal Nau et des Balquières ont une vocation à la fois commerciale et résidentielle.

Le long de la route d’Espalion, depuis San Pau, jusqu’au pont des Quatre saisons, commerces, grandes et moyennes surfaces offrent aux Castonétois une grande variété d’enseignes.

Le quartier des Balquières en direction des Costes Rouges a connu un développement résidentiel récent, car il côtoie la plaine Nostre Seigne, un espace naturel remarquable à deux pas de la ville. Plusieurs entreprises de services, d’automobile, du bâtiment… y ont élu domicile.

Les Costes Rouges

Ce fut dans les années 70 que la ville s’est étendue sur la colline des Costes-Rouges. Mais alors qu’aux quatre saisons, on avait veillé à une vraie mixité sociale, les Costes-Rouges vont dans un premier temps accueillir essentiellement des HLM.  Puis sa vocation résidentielle va s’y affirmer. Aujourd’hui, les Costes-Rouges se sont forgé une forte identité, basée sur un dynamisme associatif et une forte attractivité économique.

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